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    Étude du recours informatique dans l'enseignement des mathématiques au collège

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    With more than a third of practicing teachers in the Academy of Toulouse, surveys found the computer use is now, an irreversible historical phenomenon in the teaching of mathematics at the college due to : 1st, the generalization of equipment (video projectors in the classroom); the commitment of teachers has offset the institution failures; 2nd, the incentives and institutional obligations of new programs and inspections; 3rd, the availability of free software who have deputized budgetary deficiencies; the abundance of broadcast activities online by academic sites, the IREM and the association Sésamath; 4th, the prominent role of continuing education who has mobilized 40% of teachers in twelve years; 5th, the engagement of a virtuous circle of recognition of the value of the computer use.The pragmatic and theoretical study revealed that activities computer teaching-learning (ACTL) carried out (learnial, imagicial, exerciser, tutorial, practical), using the specific contributions of computing (implementation, testing intensified, individualization, interaction, motivation), brought new instrumented situations of internal transposition offering fertile conceptual fields which, under the effect of operative schemes, are able to improve the teaching-learning of concepts and mathematical methods. A result that depends on the quality of its components praxiological (integration, relevance, performance, superiority, scenario, staging, duration) and respect of practical rules that jointly determine the training values of ACTL (intrinsic, efficient, to use, professional and institutional) able to give better performance and higher productivity in the teaching of mathematics.Avec plus d'un tiers de professeurs pratiquants dans l'académie de Toulouse, les enquêtes ont constaté que, désormais, le recours informatique est un phénomène historique irréversible dans l'enseignement des mathématiques au collège dû : premièrement, à la généralisation des équipements (vidéoprojecteurs en classe) ; à l'engagement des professeurs qui a compensé les défaillances de l'institution dans leurs administrations ; deuxièmement, aux incitations et obligations institutionnelles des nouveaux programmes et des inspections ; troisièmement, à la disponibilité des logiciels gratuits qui ont suppléé les carences budgétaires ; à l'abondance des activités diffusées en ligne par les sites académiques, les IREM et l'association Sésamath ; quatrièmement, au rôle éminent de la formation continue volontaire qui a mobilisé 40 % des professeurs en douze ans ; cinquièmement, à l'enclenchement d'un cercle vertueux de reconnaissance de la valeur du recours informatique. L'étude pragmatique et théorique a révélé que les diverses activités informatiques d'enseignement-apprentissage (AIEA) pratiquées (apprenticiel, imagiciel, exerciseur, didacticiel, praticiel), en utilisant les apports spécifiques de l'informatique (concrétisation, expérimentation intensifiée, individualisation, interaction, motivation), ont apporté des situations instrumentées nouvelles de transposition interne offrant des champs conceptuels féconds qui sous l'effet de schèmes opératoires sont capables d'améliorer l'enseignement-apprentissage des notions et méthodes mathématiques. Un résultat qui dépend de la qualité de ses composantes praxéologiques (intégration, pertinence, performance, supériorité, scénario, mise en scène, durée) et du respect de règles pratiques qui déterminent conjointement les valeurs éducologiques de l'AIEA (propre, efficace et d'usage, professionnelle et institutionnelle) susceptibles de donner un meilleur rendement et une plus grande productivité à l'enseignement des mathématiques

    Soutien informatique en mathématique

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    Sommaire du numéro :http://archive-edutice.ccsd.cnrs.fr/edutice-00000859Selon les instructions, le soutien aux élèves en difficulté peut revêtir des modalités d'action très variées.Les expériences menées au cours des années 80 et développées dans la dernière période l'attestent : le recours informatique dans le soutien aux élèves en difficulté apporte incontestablement une aide appréciable. Son efficacité et sa performance découlent d'un certain nombre d'avantages spécifiques, irremplaçables et inégalables en comparaison avec les méthodes traditionnelles, à la condition de respecter les règles usuelles de la pédagogie informatique

    Study of the use of computer in the teaching of mathematics at the college

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    Avec plus d'un tiers de professeurs pratiquants dans l'académie de Toulouse, les enquêtes ont constaté que, désormais, le recours informatique est un phénomène historique irréversible dans l'enseignement des mathématiques au collège dû : premièrement, à la généralisation des équipements (vidéoprojecteurs en classe) ; à l'engagement des professeurs qui a compensé les défaillances de l'institution dans leurs administrations ; deuxièmement, aux incitations et obligations institutionnelles des nouveaux programmes et des inspections ; troisièmement, à la disponibilité des logiciels gratuits qui ont suppléé les carences budgétaires ; à l'abondance des activités diffusées en ligne par les sites académiques, les IREM et l'association Sésamath ; quatrièmement, au rôle éminent de la formation continue volontaire qui a mobilisé 40 % des professeurs en douze ans ; cinquièmement, à l'enclenchement d'un cercle vertueux de reconnaissance de la valeur du recours informatique. L'étude pragmatique et théorique a révélé que les diverses activités informatiques d'enseignement-apprentissage (AIEA) pratiquées (apprenticiel, imagiciel, exerciseur, didacticiel, praticiel), en utilisant les apports spécifiques de l'informatique (concrétisation, expérimentation intensifiée, individualisation, interaction, motivation), ont apporté des situations instrumentées nouvelles de transposition interne offrant des champs conceptuels féconds qui sous l'effet de schèmes opératoires sont capables d'améliorer l'enseignement-apprentissage des notions et méthodes mathématiques. Un résultat qui dépend de la qualité de ses composantes praxéologiques (intégration, pertinence, performance, supériorité, scénario, mise en scène, durée) et du respect de règles pratiques qui déterminent conjointement les valeurs éducologiques de l'AIEA (propre, efficace et d'usage, professionnelle et institutionnelle) susceptibles de donner un meilleur rendement et une plus grande productivité à l'enseignement des mathématiques.With more than a third of practicing teachers in the Academy of Toulouse, surveys found the computer use is now, an irreversible historical phenomenon in the teaching of mathematics at the college due to : 1st, the generalization of equipment (video projectors in the classroom); the commitment of teachers has offset the institution failures; 2nd, the incentives and institutional obligations of new programs and inspections; 3rd, the availability of free software who have deputized budgetary deficiencies; the abundance of broadcast activities online by academic sites, the IREM and the association Sésamath; 4th, the prominent role of continuing education who has mobilized 40% of teachers in twelve years; 5th, the engagement of a virtuous circle of recognition of the value of the computer use. The pragmatic and theoretical study revealed that activities computer teaching-learning (ACTL) carried out (learnial, imagicial, exerciser, tutorial, practical), using the specific contributions of computing (implementation, testing intensified, individualization, interaction, motivation), brought new instrumented situations of internal transposition offering fertile conceptual fields which, under the effect of operative schemes, are able to improve the teaching-learning of concepts and mathematical methods. A result that depends on the quality of its components praxiological (integration, relevance, performance, superiority, scenario, staging, duration) and respect of practical rules that jointly determine the training values of ACTL (intrinsic, efficient, to use, professional and institutional) able to give better performance and higher productivity in the teaching of mathematics

    Littérature et sociologie

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    Ce livre collectif, issu d'un colloque organisé par la Société d'Étude de la Littérature Française du xxe siècle, le premier sur ce sujet, fait le point sur une des interactions les plus fécondes entre sciences humaines et littérature en étudiant les relations (de complémentarité, de concurrence, d'échanges ou d'allers-retours) entre la sociologie et le champ littéraire. Il s'agit de voir en quoi certaines approches sociologiques du texte littéraire tiennent compte de sa spécificité esthétique et enrichissent sa compréhension, mais aussi en quoi la littérature se nourrit depuis un siècle des réflexions sociologiques (que l'on songe à Jean Paulhan, Paul Nizan, au Collègue de Sociologie, à Perec, ou, plus récemment, à Annie Ernaux, François Bon... parmi bien d'autres). Les domaines de convergence sont nombreux, notamment dans des travaux sur la mémoire, sur le récit, sur les modalités d'acquisition et de transmission des connaissances, qui empruntent aussi bien à la littérature qu'à l'anthropologie sociale. Le temps était venu de faire un bilan, ouvert sur l'avenir. Car ces questions recoupent des enjeux particulièrement sensibles au moment où nos universités restructurent leurs cursus : il y va en effet du statut de la littérature comme discipline à part entière, susceptible d'interroger le monde au même titre que les autres sciences humaines, selon une épistémologie propre, irréductible aux autres

    Masculin / Féminin dans la poésie et les poétiques du xixe siècle

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    Au xixe siècle, les poètes s'interrogent avec insistance sur la part féminine nécessaire à la création, dans une période d'intense renouvellement de la poésie, mais aussi de redéfinition de la place des femmes dans la société cl la culture. « Elle était la poésie sans lyre », dit Raphaël chez Lamartine, à propos de la femme aimée. « Sans une espèce d'androgynéité », écrit Baudelaire, « le génie le plus âpre et le plus viril reste, relativement à la perfection dans l'art, un être incomplet ». Pour Rimbaud : « La femme sera poète, elle aussi ! La femme trouvera de l'inconnu ! » Tandis que dans les Cinq grandes odes de Claudel, la Muse rappelle au Poète que « ce n'est pas avec l'encre et la plume que l'on fait une parole vivante ! », et lui demande : « Quel compte donc fais-tu des femmes ? » De Musset à Claudel, c'est en effet dans le dialogue avec une Muse désormais au singulier que le Poète se représente. Pourtant, dans le même moment, les évocations poétiques de figures féminines et de l'amour se font souvent ironiques, violentes, transgressées et dérangeantes. Pourtant, très peu de femmes poètes sont retenues par l'histoire littéraire pour ce même xixe siècle. Les contributions réunies ici s'attachent à relire l'histoire poétique du xixe siècle le du point de vue de la différence des sexes, et envisagent l'ensemble des aspects de la relation masculin/féminin dans ses implications poétiques, culturelles, sociales et idéologiques. On trouvera, après des réflexions générales sur le traitement de la différence des sexes dans la langue, dans la réception critique et dans l'écriture poétique, des études de figures mythiques comme celle de la Muse, ainsi que d'œuvres et de situations singulières d'écrivains hommes et femmes, dans un parcours allant d'un tournant du siècle à l'autre, des poétesses de l'Almanach des Muses à Guillaume Apollinaire
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